"J'ai toujours été mon pire ennemi. Je fuis les miroirs. Le doute et mes névroses m'ont longtemps empêchée d'affronter la vie".
"L'idée que des personnes n'aiment pas ce que je fais, ne m'aiment pas, est tout à fait normal... et puis, dans le fond, tant mieux, il faut avoir des ennemis. Il faut soigner ses ennemis".
"Les personnes méchantes, vindicatives, il y en a et j'en rencontre encore aujourd'hui. En général, j'essaie d'avoir la réaction contraire à ces instincts premiers. A savoir que je préfère répondre à l'arrogance par la gentillesse. C'est moins douloureux".
"Je me méfie d'une certaine nature humaine. Plus que tout, je redoute la trahison. Mais la méfiance n'exclut pas le don de soi. Peut-être m'a-t-on beaucoup trahie. Je ne sais pas. Ou plus. Je n'ai aucun souvenir de mon enfance et mon adolescence est en train de s'effacer".
"Je ne fais pas partie de celles que l'on aime mais de celles dont on se souvient".