"Tout est important pour moi. Aussi bien l'apparence physique que le verbe. Maintenant, suis-je obsédée par ma ligne, par mon corps ? Absolument pas... Je ne fais du sport que quand je monte sur scène ! Ma couleur naturelle est chatain. C'était fade. Je suis devenur rousse quand j'ai commencé à chanter. J'ai d'ailleurs une peau de rousse. Il y a eu une erreur de la nature, j'aurais dû naître rousse".
"Mon drame, c'est celui d'Hamlet, mais lui n'avait pas la chance d'enregistrer des disques".
"Il ne faut pas faire de vivisection de l'artiste. Je n'ai pas à ouvrir mon ventre".
"Tout est important pour moi. Aussi bien l'apparence physique que le verbe. Maintenant, suis-je obsédée par ma ligne, par mon corps ? Absolument pas... Je ne fais du sport que quand je monte sur scène".
"L'argent me donne une formidable liberté mais ce n'est pas une fin en soi".
"Avant d'être connue, j'avais toujours l'impression que les gens parlaient de moi dans mon dos, qu'ils se moquaient. Et je prenais toutes les réflexions à mon compte, même lorsqu'elles ne m'étaient pas adressées.
Aujourd'hui, je n'ai pas beaucoup changé et j'ai du mal à me promener dans la rue... Je vis comme une recluse. Parfois, j'ai le sentiment d'être enterrée vivante. Mais il y a des choses plus douloureuses dans la vie".
"La sérénité, je ne l'ai pas atteinte. J'ai encore trop de chaînons manquants et je crains que le doute soit mon éternel compagnon de route".
"Ma manière d'évoquer la joie n'est peut-être pas décodable. J'ai en moi de l'humour plus que de la joie".
"Il m'arrive d'avoir le feu dans les veines. De temps en temps, je suis le diable".
"C'est avec l'écriture que j'ai ouvert les vannes à toutes mes émotions, mes troubles. C'était vital... Tout se fait et se défait inexorablement".
"Il ne faut pas prendre tout ce que l'on raconte dans une chanson. Il y a des choses qu'on dit, qu'on fait à un certain moment de sa vie, pour une raison bien définie, mais qu'on serait incapable de refaire à une autre occasion".
"Le paradoxe, la dualité font partie font partie de mes journées. Il y a la personne extrêmement introvertie, discrète, qui affectionne le silence et l'absence. Puis il y a l'autre, qui aime La lumière et doit se battre pour cette lumière. C'est un combat dans toute sa puissance".